Une élection volée
L’establishment est la
version contemporain et bien exécrable de la vieille oligarchie. R. Cascioli
écrit : « Ce qui devait se produire, on l’a
fait se produire : une oligarchie contre le peuple l’a décidé[1]. »
Politiques, médias et lobbies en tout genre en ont la responsabilité. C’est
aussi le constat d’un échec ancien, celui d’une unité solide à droite : à
quand les vrais politiques de droite qui n’ont pas peur de dire ce qu’ils
pensent ? À quand des médias authentiquement de droite ? À quand des
groupes d’influence marqués par le retour aux valeurs essentielles de
l’humanité ? Bref, à quand la fin des bagarres internes qui divisent sans
cesse ceux qui prônent une société politique à rebours de la doxa gauchisante
en vogue depuis tant de décennies dans tout l’Occident ? « L’union
fait la force » dit la devise belge ; il est grand temps de la
méditer sincèrement…
Dès le début de la campagne
électorale, les dés étaient pipés. On connaît les failles du système électoral
américain. Chaque élection met à découvert les irrégularités de nombreux votes
et dépouillements dans divers États. Toujours les mêmes d’ailleurs, la
Pennsylvanie, bastion démocrate, en tête de liste. Il est vrai que chaque État
possède sa propre législation dans le domaine, ce qui rend encore plus complexe
un système électoral assez déroutant, et c’est peu dire…
Le vote par correspondance (mail-in
ballots) est la raison principale de la falsification des résultats. Un
lanceur d’alerte interrogé par le New York Post, en août 2020,
confessait sa propre expérience de fraudeur électoral. Selon lui, en raison du
vote par correspondance, « la fraude est davantage la règle que
l’exception[2] ».
Et l’homme d’entrer on ne peut plus clairement dans les détails de cette vaste
opération de trucage électoral : « Vous avez un facteur qui est un
gars enragé anti-Trump et il travaille à Bedminster [PA] ou dans un autre
bastion républicain… Il peut prendre ces bulletins de vote [remplis], et
sachant que 95% d’entre eux vont à un Républicain, il peut simplement les jeter
à la poubelle[3]. »
Un témoignage parmi tant d’autres, mais qui ne trouve aucune faveur auprès des
médias mainstream : « Fake news ! fake news ! »
crient-ils, quand ça les arrange… Et tant qu’à faire, si Trump dénonce la
supercherie, censurons-le sur Tweeter, ça lui fera les pieds. Le comble pour un
média, c’est quand même de favoriser la censure…
Et puis nous avons la cerise sur
le gâteau : les Dems ont invité au grand rendez-vous électoral non
seulement les « minorités » – qui ne sont pas toutes tombées dans le
panneau, Trump ayant enregistré des résultats en hausse de la part des
Hispaniques et des Afro-américains… mais bon, ça doit encore être une « fake
news » – mais aussi les zombies. Qui oserait dénier aux morts
le droit imprescriptible du vote ? Les cimetières ont donc participé
activement au succès (sic) du vieux Joe. RIP ! Mais quand vous
tapez ça sur Google, vous obtenez par exemple :
Et puis il y a les magiciens. À
coup de baguette magique, on a vu les scores s’inverser, des centaines, des
milliers de voix démocrates apparaître, quasiment à la suite, dans les 2 ou 3%
restants de bulletins à dépouiller. Quel prestidigitateur ce Master Joe !
Lisons Stefano Magni : « On ne sait pas combien de ces anomalies sont
connues, mais même dans les comptages eux-mêmes, il y a quelque chose qui ne
colle pas. Le 4 novembre, entre 3 h 30 et 5 h du matin, 140 000 bulletins ont
été comptés dans le Wisconsin… tous pour Biden, 200 000 dans le Michigan et un
million en Pennsylvanie. Ils sont tous arrivés en même temps[5]. »
Louis Jouvet aurait commenté : « Bizarre, bizarre ! » Mais
pas CNN et le New York Times semble-t-il…
Et puis nous avons oublié nos
amis propagandistes ! L’arrière-plan de l’élection était empoisonné par la
manière dont les médias ont excellé dans le bourrage du crâne sur la gestion
trumpienne des crises de 2020. Du coronavirus à la furie collective surnommée
« Black lives matter », qui s’est grossièrement servie du
honteux assassinat de personnes noires par des policiers blancs pour
revendiquer un mouvement de protestation – que dis-je ? – de révolution
contre l’administration républicaine. À partir de là, nous avons vu les rioters
menacer de mort les policiers, brûler les magasins et les églises, saccager
plusieurs villes sans que les municipalités ne levassent le petit doigt. Et
quelles villes ! C’est on ne peut plus logique, il s’agit pour les plus
marquées de villes… démocrates : Portland, Minneapolis, Chicago, New
York ! Tous les sanctuaries de la criminalité dénoncés à de
nombreuses reprises par Trump, mais chouchoutés par l’establishment
démocrate – tiens, ça me rappelle un autre pays au passage ! Même le Courrier
international, pourtant dans la nébuleuse du Monde, publiait en juin
2020 que « le “nihilisme
de la culpabilité perpétuelle” des progressistes américains
est une excuse commode pour masquer leurs erreurs[6]. »
Cinquante ans de désastre urbain et social.
Covid et rioters
ont fait les choux gras de la presse mainstream comme une belle planche
savonnée contre Trump. Mais Trump n’a pas glissé, a gardé la tête haute
jusqu’au bout. Il n’allait pas se soumettre aux arguties de ces bonimenteurs à
la gomme.
Qui a dit que Trump était raciste ? |
Et j’allais oublier les sempiternels sondages, polls comme on dit outre-Atlantique ! Vous savez ces courbes qui montent et qui descendent au gré de l’humeur des médias. Évidemment les mathématiques ne pouvaient pas laisser Donald tranquille, tout était bon pour imposer la température électorale qu’on voulait au moment opportun. Jusqu’au bout le poll-shit a fait ses preuves contre le président sortant, en dépit des résultats positifs qu’il a su faire survivre aux violentes attaques du coronavirus – les 33% d’augmentation du PIB au 3e semestre 2020 et le recul du chômage, c’est de la « fake news » aussi[7] ? On peut faire dire ce qu’on veut aux courbes et aux chiffres comme nous l’avons vu, comme le témoigne la remarquable envolée du vieux Joe en saut en hauteur lors des dernières heures du comptage de bulletins. Vérifiez par vous-mêmes !
Et pendant qu’on tapait sur Donald, qui se préoccupait de Sleepy Joe ? Une campagne au ras des pâquerettes, un bonhomme au bord de la sénilité, quel bel assortiment pour le deus ex machina de la gauche américaine. Alors on lui a casé Kamala comme vice-candidate, l’une des égéries de l’ultra gauche, philocommuniste, la pseudo-représentatrice des minorités, l’anti-Trump par excellence, « la candidate abortiste et extrémiste[8] » pour ne pas dire mieux que Stefano Magni. Bref une progressiste extrémiste à glacer le sang. Joe et Kamala, c’est le compromis de tous les Dems, la revanche de papy Bernie Sanders. Un sacré ticket ! Sans Kamala, que serait Joe ? Pas grand-chose. Le masque visé sur le nez, tel un Zorro de pacotille, et puis un selfie par ci, un discours devant 3 clampins par là, on ne peut pas dire que sa campagne fut une grande épopée de reconquête pour nos Dems. Alors que Kamala, c’est l’artillerie lourde, la grosse bertha de la pensée unique, la méduse du deep state, pour ne pas continuer la litanie…
Et j’allais oublier la
cerise sur le gâteau : le scandale de l’argent chinois. Mais
non ! « Fake news » ! Deux poids, deux mesures. Les
médias n’ont pas été aussi rapides à dénoncer la fake-newsity (pardon
pour le néologisme…) des prétendues ingérences russo-ukrainiennes que les Dems
ont voulu utiliser pour provoquer l’impeachment de Trump ! Et là
nous avons le clan Biden qui nage dans le scandale. Toute la smalah copine avec
la Chine, l’émissaire étant Hunter, le fils du vieux Joe, et ça remonte au
temps béni de Barack avec un fonds d’investissement colossal agrémenté de
dessous-de-table sympathiques[12]. Et puis
il y a les accointances ukrainiennes, avec les e-mails récemment dénoncés par
un lanceur d’alerte. Des plaintes ont été déposées, le FBI enquête, Rudy
Giuliani, l’ancien maire de New York et avocat de Trump, s’est jeté sur le
ring, mais rien n’a abouti. « Lubie du Donald ! » crient les
médias ! Fermez le ban. Il n’y a que la gauche qui a le droit d’attaquer
et de se plaindre, c’est bien connu. Le Bidengate est mort né et Chinaman
occupera la Maison blanche, au grand soulagement de l’inquiétante puissance communiste.
Mais enfin, si le communisme entre à Washington, Kamala sera là pour y veiller.
En témoigne la joie non voilée des dictateurs communistes latinoaméricains, tel
Maduro au Venezuela[13], les
défenseurs du régime cubain nostalgiques de l’Ostpolitik obamienne[14], sans
oublier les amitiés chinoises de la tribu Biden, qui ont trouvé enfin leur
interlocuteur dans le vieux Joe.
Bref, tout ce cocktail bien
imbuvable met pleinement à jour la vaste supercherie – bip ! « Fake
news » !! – de cette élection 2020 qu’on pourra à jamais
qualifier de prank election, farce électorale, symbole d’une démocratie
essoufflée, moribonde. Chief Joe restera aussi dans l’histoire comme Thief
Joe, Joe le voleur sorti d’une vignette de Lucky Luke, à la tête
d’une Fraudster administration annonciatrice de happy days… Mais
attention, après avoir passé quatre années dans l’acharnement féroce contre
Trump, les Dems nous offrent la guérison des blessures et la paix. Nous
voici rassurés…
[1]
http://www.benoit-et-moi.fr/2020/2020/11/07/les-elections-presidentielles-aux-usa-sonnent-la-fin-de-la-democratie/
[2] « But the political insider […] said fraud is more the
rule than the exception. » Jon Levine, « Confessions of a voter fraud: I was a master
at fixing mail-in ballots », New York Post, 29 août 2020.
[3]
« You have a postman who is a rabid anti-Trump guy and he’s
working in Bedminster or some Republican stronghold … He can take those
[filled-out] ballots, and knowing 95% are going to a Republican, he can just
throw those in the garbage. » Ibid.
[4]
Stefano Magni, « Poste, giudici e morti votanti : le peggiori
elezioni », La Nuova Bussola Quotidiana. Traduction par le site benoit-et-moi :
http://www.benoit-et-moi.fr/2020/2020/11/06/postes-juges-et-morts-qui-votent-les-pires-elections/
[5]
Ibid.
[6]
Daniel Henninger, « Dans les
villes américaines, l’échec de la gauche est “patent” depuis 1968 », Courrier
international, 12 juin 2020.
[7]
https://www.xtb.com/fr/analyses-marches/breaking-le-pib-americain-augmente-de-33-1-au-troisieme-trimestre-les-demandes-hebdomadaires-au-chomage-sont-inferieures-aux-attentes
[9]
https://www.youtube.com/watch?v=EtQ40Psh6UQ
[10]
« What kinda country we’re gonna be… 4 more years of George… uh… George…
uh ». https://www.youtube.com/watch?v=Gj0DRjlfvhw
[11]
https://www.youtube.com/watch?v=kaf9KZhMGDM
[12]
https://fr.irefeurope.org/Publications/Articles/article/Les-tres-suspectes-et-lucratives-affaires-de-la-famille-Biden
[13]
https://thepostmillennial.com/venezuelan-president-maduro-congratulates-joe-biden-says-hes-ready-for-dialogue
[14]
https://fancuba.com/2020/11/04/pourquoi-les-cubains-esperent-lelection-de-biden/
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